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 L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte !

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Elisa Knight

Elisa Knight


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MessageSujet: L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte !   L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte ! Icon_minitimeJeu 5 Mai 2011 - 17:29

    J'avais décidé enfin de sortir de chez moi et voir s'il restait au moins quelques personnes. Je m'étais tout de suite dirigée vers le collège... Normalement, je serais allée revoir si Peter n'était pas là, mais je sentais qu'il m'avait abandonnée, depuis cette année écoulée... Je marchai presque comme un zombie dans la rue déserte. Mais qu'est-ce qu'il s'était passé ? A croire que des extraterrestres étaient passés par là... Le paysage avait assez changé, à vrai dire … La ville avait l'air totalement abandonnée, et les plantes avait poussé à peu près partout … C'était comme le jardin de la maison, il était plein d'herbe folle. Ca m'avais impressionnée … Oui, c'est sûr, les martiens sont venus … Non, non, je ne dois pas croire ça … Si tout le monde à disparu, pourquoi pas les plantes et les animaux, vu qu'ils sont aussi des êtres vivants ? Puis je marchai dans une flaque d'eau … Han nan … Mes chaussures qui coutait dix milliards de dollars … Si maman avait vu ça, qui sait de quoi elle m'aurait privée … Brrr … J'en ai froid dans le dos … Mais elle n'est plus là, alors … Je gardais tout de même ma chaussure. Par rapport à ce qu'il se passait depuis plusieurs semaines, ma chaussure mouillée, ce n'étais rien.
    J'arrivai finalement au bâtiment. Je m'étais vêtue d'une robe de printemps, tel était la saison, si je ne me trompe pas.. Et cette robe. Pouf. Le bas arraché. Dans une porte, précisément. Je m'en fichait. Plus rien ne comptais. Tout le monde m'avait apparemment abandonnée. Et le pire, c'est que le premier, c'était Peter à l'avoir fait. Alors qu'on étaient amis d'enfance... alors que dès la naissance on se connaissait... alors que j'étais toujours là pour lui à essayer de lui décrocher ne serait-ce qu'un sourire.... Alors qu'on étais tout le temps ensembles …
    A présent, j'étais dans un escalier. Je le montais en trainant des pieds. J'avais en fait très peur. Si ça se trouve, j'étais sûrement seule au monde. Non, impossible, il doit bien rester des personnes quand même... Je m'efforçai de me dire que ce n'étais qu'un rêve. Oui, juste un rêve... Et je me réveillerais ! Non, non, c'est trop réaliste … Oui …. Un cauchemar réel ...
    Maintenant, j'étais dans l'un des nombreux couloirs du collège … Je priais silencieusement pour que je puisse trouver au moins une personne... Une seule, au moins. Mes pieds frottait le sol. J'étais désespérée. Ma force se perdait peu à peu … Le désespoir m'aidais beaucoup, pour m'avancer.

    Je m'appuyait à un moment contre le mur. C'était perdu d'avance, il n'y avait personne. Quelle idée d'aller chercher dans un collège ! Je devrais changer d'avis et plutôt aller chercher ailleurs... Mais il y a au moins une chance sur mille qu'il y est quelqu'un. Je m'entêtais. Je voulais tout de même continuer. Pour me rassurer, je chantonnais une chanson, tout bas. Une douce chanson que me chantait ma mère étant plus jeune, que je m'efforçai parfois à chanter à Peter qui à chaque fois, avait l'air de ne pas l'écouter. C'était une mélodie rassurante et qui donnait souvent envie de faire une petite danse. Mais Peter, lui, ça ne l'avait jamais touché... Je la lui chantais plus précisément quand nous étions petits. Cela serait quand même passé bizarre qu'une adolescente chante à un garçon de son âge une chanson. Je me rappelais vaguement des paroles … C'était de Emilie Simon, ma mère l'aimais beaucoup … les paroles, à peu près

    « Lise prend des airs
    Qui déstabilisent
    Les valises de Lise
    Sont pleines d'air

    Que veux-tu que je lui dise
    Elle fait tout de travers
    Elle fonctionne à l'envers
    Sous ses airs de marquise

    Les vers de Lise
    Se lisent autour d'un verre

    Elle ne manque pas d'air
    Il faudrait que tu lises
    Un ou deux de ses vers
    Légers comme une brise

    Lise, elle n'est jamais acquise
    Ton cœur elle te le brise
    Ton âme elle te la perd
    En écrivant ses vers

    Les vers de Lise
    Se lisent autour d'un verre

    Lise, une fille singulière
    Elle te tourne à l'envers
    Elle n'est jamais si soumise
    Elle te fait changer d'air

    Lise, elle déguise ses vers
    Pour ne pas être comprise
    Pour ne pas être prise
    Pour une terre à terre

    Les vers de Lise
    Se lisent autour d'un verre »


    Puis j'entendis des pas. Mes pieds étaient d'un seul coup moins ramollis, de même pour mon corps. Quelqu'un ! J'entendais quelqu'un !
    Tellement j'étais heureuse que j'en tombai pratiquement dans les pommes. Je ne pouvais plus bouger, mais je voyais assez flou, mais pas trop non plus, c'est comme si mes forces m'avais tout à coup quitté … Puis, le désespoir me prit quand même, pour avoir accumulé trop de stress pendant toutes ces semaines : une larmes perla sur ma joue.
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Matteo Timon
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MessageSujet: Re: L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte !   L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte ! Icon_minitimeJeu 5 Mai 2011 - 19:15

Pfouu ! Enfin sorti de cet endroit horrible ! Sortant en souriant bêtement à Ilyana Steewart, la meneuse du Clan de la Nuit, Matteo se dirigeait maintenant vers la chambre de Peter, pour enfin lui remettre le livre qu’il avait dû lui chercher. Il allait prendre le chemin de droite pour monter l’escalier qui menait à la chambre de son chef de clan, lorsqu’il entendit les paroles d’une chanson qu’il avait déjà entendu autrefois. Sa mère la lui chantait, avant, lorsqu’elle venait lui dire bonne nuit. Il avait à peu près quatre ans à ce moment-là, mais il s’en rappelait toujours. C’était avant que le père de Matteo mourrais dans un accident et que sa mère se trouve un nouveau mari, qui rapporta Niccolo avec lui. Cette chanson restait comme une chanson empreinte de douceur et avec une mélodie rassurante dans ca tête. Il resta un moment au même endroit, écoutant la voix chanter la chanson jusqu’à la fin. Lorsque celle-ci fit s’arrêta, peut-être seulement pour un moment, mais il n’en saura rien, car il se décida enfin d’aller en direction de la chanson. Ses pas résonnaient dans le couloir et celle qui chantait la chanson il y a un instant semblait l’avoir entendue, car elle regardait dans la direction de laquelle il venait lorsqu’il passa le mur qui les séparait un instant plus tôt. Il découvrit une fille d’à peu près le même âge qu’Ilyana. Elle était affalée par terre, l’air complètement abattue. Le bas de sa belle robe verte était déchiré et ses chaussures, qui avaient l’air plutôt couteuses étaient trempée. Son visage lui évoquait vaguement quelque chose, mais il ne s’en souvenait plus. Ah ! Si !, c’est Lizi-la-riche ! Si je me rappelle bien, elle était la fifille à son papa parfaite ! Mais bon, ce n’étaient que des rumeurs…Mais si elle est là, sa veux dire qu’elle doit aussi avoir un pouvoir ! Bon, je vais d’abord la présenter à Peter, peut-être qu’il pourra la décider à entrer dans le Clan des Converses… Hm ? Tiens, un écho de Nicolo… « Matteo ! Si j’avais bien compris tes pensées, tu es en train de chercher un livre pour ton chef-» « Quoi ?! Tu regardes mes pensées sans mon autorisation ?! Tu vas payer ! » « Hey ! C’est quand même toi qui m’a autorisé à installer l’App dans ton cerveau, alors ne te plain pas ! Donc, je disais-» « Tu me demandais si je cherchais un livre pour mon chef, et ben oui ! Je l’ai fait, et je suis en train de lui apporter dans sa chambre. » « Voilà, il n’est pas dans sa chambre, mais à la cantine et c’est assez amusant. Je sais je suis sadique. Bon, déconnection ! » Pfff ! Il se mêle toujours de mes affaires ! Bon, alors, je l’emmène à la cantine. Il se pencha de nouveau vers la fille, qui, maintenant, pleurait à chaudes larmes. « Hey ! Ça ne va pas ? T’inquiète, je vais te présenter un type du nom de Peter, qui-» Soudain, elle le regardait avec de gros yeux pleins d’espoir et l’interrompu.

(Hehe! Petit indice sur le pouvoir de Niccolo! x) La conversation entre Matteo et Niccolo état dans leurs pensées, personne d'autre ne pouvait les entendre, à part Iwan, Mais il est trop occupé à gerber x))
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Elisa Knight

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MessageSujet: Re: L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte !   L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte ! Icon_minitimeJeu 5 Mai 2011 - 20:23

    -Hey ! Ça ne va pas ? [...]

    Je levai les yeux vers la personne qui s'était penchée sur moi. C'était un garçon blond aux yeux bleu. Fin comme ça, c'est sûr que ce n'est pas précis, mais bon, ma vue étais trouble, je le rappelle … J'étais heureuse, si heureuse, mais je pleurai toujours autant. Il y a quelqu'un, il y a quelqu'un ! Je ne suis pas seule ! Et pourquoi aurais-je crut ça d'ailleurs ?! Je suis peut-être égoïste … Non, j'ai paniqué, en fait ..

    -[...]T’inquiète, je vais te présenter un type du nom de Peter, qui ..

    Il s'arrêta. Il avait sûrement remarqué d'un seul coup mes yeux écarquillés avec un grand intérêt dedans. Peter !Peter ! Et si c'était un autre Peter ? Non, c'est lui, c'est Peter ! Je le sens ! Je le sens que c'est lui. Je le sentais d'ici. Mes pleurs avaient cessés d'un seul coup. Peter, c'était lui, je le sais, mon ami d'enfance, lui ! Peter ! Il va m'emmener à lui ! Je vais voir Peter ! Là ! Mon seul et unique ami !

    -Pe … Peter ?! M... Mon Peter ?!

    Je me jetai d'un seul coup sur le garçon, le tenant par le col, les yeux plein de lueurs d'espoir. Je le secouai, comme si il n'allait jamais cracher le morceau, mais en fait, je le secouai de bonheur. J'allais le voir ! Après toute cette longue année sens contact !
    Je regardai la main de l'inconnu. Il tenait en main un livre. La forêt des Mythagos. Mais … Mais … C'est pour lui ou … Peter ?! Je me rappelle d'une fois où je le lui avais prêté, mais il ne l'avais lu seulement jusqu'au chapitre 5. Alors … Se rappelait-il de moi ? Il pense toujours à moi ?! Je regardai droit dans ses yeux bleus l'autre garçon, toujours en le secouant comme une folle à lier.
    Me rendant compte que c'était un geste totalement inutile, car de toute façon, il me répondrais.

    -Peter Picent ? C'est ça, hein ? On va le voir, hein, dit, dit ! On va voir Peter !

    J'en pleurais de joie. Puis je m'arrêtais d'un coup... Il y avais un problème … je n'avais plus de force. A pars celle de l'espoir de voir Peter … Mais j'avais d'horrible courbatures aux jambes …
    Allez, Lizi, tu vas voir Peter, quoi ! Allez ! Debout ma belle !
    Rien à y faire … Mes jambes n'obéissaient pas … Elle voulait rester clouée au sol. Allez … remémore-toi tout ce qui nous est arrivé ! Je vais voir Peter, quand même ! Là, je suis à deux doigts de le voir ! Peter qui t'as sauvée de la noyade à la pêche, Peter beaucoup plus jeune que tu endormais en jouant du piano ou du violon ! Peter que tu soignais maintes fois après ses bagarres dans les rues ! Peter pour qui tu pleurait souvent pour lui-même ! Pe … Bref, quoi ! Et là, tu peux le voir ! Là, dans quelques minutes, je pourrais le voir !
    Par un ultime effort, je levai ma jambe droite. Je levais l'autre avec mes mains, et sans demander l'avis du garçon, je m'accrochai à son épaule et me levai lourdement et difficilement.
    Qui sait, peut-être qu'en fait, il mentait. Et qui sait où il m'emmènerait ! Non, je m'imagine des choses. Peter, il étais par là. Oui, et je vais le voir. Je me tenais toujours à son épaule, mes jambes tremblaient tellement que j'avais peur de tomber si je ne m'appuyais pas.
    J'attendais en fait sa réponse. Je voulais qu'on me le confirme. Qu'on me confirme que c'était bien Peter. Peter Picent. Par rapport à lui, je venais de le remarquer, j'étais incroyablement petite. Mais comme d'habitude, je m'en fichais, et j'avais l'habitude de voir que les gens étaient plus grands que moi. Pourtant, il avait l'air plus jeune que moi … A deux ans près ! Peter doit être encore plus grand, j'imagine, me rappelant comment il était plus grand que moi, autre fois !
    Je me demandai comment il étais, maintenant … toujours aussi svelte, j'imagine … Et avec cet air soit perdu, soit haineux, soit impassible … Les cheveux en bataille, j'imagine, comme à l'habitude … Et puis … Ah oui ! Ses habits, qu'ils prend juste le premier qu'il voit. Cela n'avait jamais embêté papa et maman, d'ailleurs, comment étais Peter … Ce qui les avaient plus embêtés, je pense, c'était sa tante, je pense … Ils m'avaient toujours dit qu'ils se demandait si elle ne faisait pas n'importe quoi avec lui … Je ne leur avais jamais dit qu'elle était si maniaque que Peter se prenait une baffe, pour n'importe quel dérangement ou salissure, et que quand elle étais énervée, il étais sa sorte de souffre douleur … Elle ne le cognais pas contre les murs non plus, mais je savais que ce n'était pas normal. J'ai toujours eu une éducation de sois-disant « riche », mais je savais faire une différence entre l'éducation de la classe moyenne et l'éducation à la maltraitance. Sa tante osait même le faire devant moi lorsque j'étais invitée chez elle et lui.
    Bref, en tout cas, avec ces disparition -car j'étais persuadée que tout le monde n'étais pas là- il devait avoir l'air plus facile. Surtout qu'en plus sa tante étais morte, alors.

    Je sortis de ma rêverie, et me rendis compte que le garçon allait répondre...
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Matteo Timon
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MessageSujet: Re: L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte !   L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte ! Icon_minitimeVen 6 Mai 2011 - 16:29

« Pe…Peter ?! M…Mon Peter ?! » Soudain elle se jeta sur Matteo, le secouant comme une folle. Hey ! Voulu-t-il lui crier, mais vu ses larmes, elle avait dû passer de pires moments et ses nerfs avaient lâchés. Il la vit jeter un coup d’œil sur le livre qu’il avait dans la main, puis réfléchir un moment, pendant lequel Matteo essaya de se libérer de sa prise, mais elle ne le lâchait pas, continuant de le secouer. Soudain, elle lui cria à moitié dans l’oreille, ce qui n’avait pas l’air de la déranger : « Peter Picent ? C'est ça, hein ? On va le voir, hein, dit, dit ! On va voir Peter ! » Il voulut lui répondre que oui, mais elle pleurait de nouveau à chaudes larmes, des larmes de joies. Elle connait donc Peter. Peter était ami avec Lizi-la-riche ? Je ne savais pas… Elle voulut se lever, mais ses jambes ne la tenaient plus correctement. Matteo se leva donc en premier, puis, il voulut lui proposer son aide, mais la fille s’accrocha, sans demander, à son épaule et se hissa, jusqu’à être debout. Elle avait l’air de voir une image devant ses yeux, peut-être une image de Peter. En tout cas, il secoua la main devant ses yeux, pour qu’elle sorte de sa rêverie et l’écoute. Elle se réveilla, mais n’avait pas l’air d’avoir remarqué sa main. Puis, il lui dit : « Oui, on va voir Peter. Mais je ne suis pas sûr que tu puisses y aller si tu es dans cette condition physique. Laisse-moi faire. » Ajouta-t-il avec un petit sourire aux lèvres. Time…Off ! Tout s’arrêta, la respiration plutôt bruyante de la fille, les pas qu’on pouvait entendre dans les couloirs, etc…, Bref, tout. À part, bien sûr, Matteo lui-même et son pendentif. Bon, maintenant, l’amélioration de Niccolo…hm…Il se concentra sur la l’endroit où se tenait la fille. J’arrête la gravité de cet endroit, et… Tout à coup, le corps de la fille commença à s’élever dans les airs, sans s’arrêter. Hey ! Ça marche ! Il se concentra de nouveau, et laissa la fille s’arrêter dans les airs. Puis, il commença à marcher en direction de la cantine, la fille volant à ses côtés. Après un moment, il pensa : Le temps commence à percer le mur, dépêchons-nous ! Il commença à courir, la fille volait plus rapidement, elle aussi. Puis, lorsqu’ils s’arrêtèrent à quelques mètres de la cantine, il fut contraint à laisser le temps reprendre son cours. Time…On ! Le corps de la fille, de nouveau animé, se posa lentement sur le sol à côté de lui. Elle avait l’air un peu déconcertée de ce changement d’environnement. Il ne fut pas très étonné lorsqu’elle ouvrit la bouche.
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MessageSujet: Re: L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte !   L'espoir fait vivre, mais alors ... le désespoir tue ? Mais je ne suis pourtant pas morte ! Icon_minitime

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